Comme tous les après-mdi
Alieh, Rowshanak ou Raeheleh sont souvent à leur
fenêtre. Entre le riz pilaf aux lentilles et les pétunias, le voile et
une paire de bas, le mari, les enfants, les aïeuls ou les voisines,
elles guettent ce qui va venir conforter ou bousculer leurs habitudes.Au fil des saisons et des générations de femmes, flotte sur Comme tous les après-midi
un parfum de mystère étrange et pénétrant. Par touches légères,
prégnantes, se dessine en filigrane, parfois à la lisière du
fantastique, un portrait discret mais audacieux de la femme iranienne.
Par
la simplicité et la sobriété de son style, Zoyâ Pirzâd épingle comme un
papillon rare la fuite du temps et déjoue d’un regard incisif les
pièges de la vie quotidienne.*
Après "on s'y fera", je continue mes lectures et celui-ci m'a intéressé (bon un soucis au niveau du langage mais on s'enrichit culturellement à la fin). Des nouvelles courtes, une lecture facile.
Pour en savoir plus sur Zoyâ Pirzâd